Pauvre Rasta Dans les années 90, je suis à l’école hôtelière et je me considère comme un jeune rebelle. A peine la rentrée entamée que la guerre du golfe éclate. Mon père est en opération et pour ne pas montrer ma peur de le perdre… je me cache derrière ma carapace de petit dur. Mais rapidement j’ai besoin d’un dérivatif pour ne plus y penser constamment. Plusieurs fois on m’avait proposé de partager un joint. Un de mes amis m’explique que ça me rendra heureux et que c’est comme les effets de l’alcool en mieux. Je fini par me laisser tenter et effectivement mes premiers pétards correspondent parfaitement à mon besoin. Au début, c’était la fumette du week-end puis mon père est rentré sain et sauf chez nous. J’ai continué à fumer malgré tout de la drogue pour le fun. Puis est venu le temps de mon premier travail avec le monde de la nuit que je fréquentais, drogue et alcool était devenus une habitude banale. Le petit pétard avant de me coucher est progressivement devenu une
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L’âme de Vanga Au boulot, je me trouve souvent dans un état d’hypnose ou mes mains travaillent par reflex mais mon âme et mon cerveau sont ailleurs bref je vis dans un rêve éveillé Dans ma vie il y a des personnages célèbres qui y font des apparitions récurrentes telles l’impératrice Eugénie : je l’ai d’abord croisé une première fois chez elle, à Biarritz, dans son palais ou j’ai travaillé. Puis j’ai servi dans son régiment et bien plus tard au hasard d’un défilé historique à Vichy dans la ville où elle venait y prendre les eaux nos destins s’y sont à nouveau chevauché. La Vierge Marie est la seconde personne qui croise ma vie en spirale et de manière fréquente depuis que j’ai cessé de me droguer et que j’ai repris goût à la vie après être passé dans son sanctuaire à Notre Dame de la Salette. Je l’ai prié et elle m’a donné l’amour en retour. Puis elle est venue me voir et lors de notre première rencontre à la Salette je lui ai raconté le conte de fée que je vivais avec Katja
Lettre de l'Oncle André
Chers tous j’espère que vous suivez toujours mes humbles conseils pour la production de tomates. Mamadou Kayode, j'ai bien peur que cette année que ce soit la dernière lettre de moi qui vous parvienne car je suis si fatigué. Alors mes amis n'oubliez jamais en ce qui concerne les tomates toujours "on promène"...
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